Après avoir rencontré les grands ensembles des Ivoiriens membres et militants du RHDP en France, le directeur exécutif adjoint Lanciné Diaby, chargé des militants de l’extérieur a décidé de passer à une autre étape de sa stratégie de mobilisation.
En effet, après les étapes d’Auxerre et de bien de villes de la France, l’émissaire de monsieur Adama Bictogo directeur exécutif du RHDP a décidé de se rapprocher des militants dont il a la charge, afin de partager non seulement leur quotidien, mais surtout de les sensibiliser à l’effet d’adhérer au RHDP, ce grand parti qui porte l’espérance de la Côte d’Ivoire en terme de développement avec le président Alassane Ouattara.
Pour ce faire, il a entrepris de sillonner les différents arrondissements de Paris, où se trouve une forte communauté de militants du RHDP. Ainsi, avec son équipe essentiellement composée de l’honorable Touré Alpha Yaya, de M. Koné Tidiane président du comité d’organisation de la rentrée politique du RHDP-France, de M. Gnizako Gogoua Vincent, délégué Départemental de RHDP-France et de M.Bamba Idrissa, ils ont rencontré l’organisation des femmes d’Abobo vivant en France conduite par Mme Madoussou Savané.
Lors de cette rencontre avec les femmes, celles-ci ont posé des préoccupations. Notamment le cas de ceux qui ont immigré en France par la méditerranée et qui n’ont pas de papiers. A cela, elles ont posé le problème des sans-papiers en général. Elles ont souhaité également avoir des rencontres périodiques avec les autorités ivoiriennes établies en France, pour aborder avec elles, leurs lots quotidiens de difficultés pour leur intégration en France. Par ailleurs, elles souhaitent ne plus être ignorées par le RHDP.
Face à toutes ces préoccupations, le directeur exécutif du RHDP a été clair et rassurant : « mes chères sœurs soyez rassurées, nous allons prendre toutes les dispositions en conformité avec la loi, pour vous établir vos papiers et les différents actes qui vous permettront de voter. Je vous invite, vous femmes d’Abobo commune martyr du combat pour la démocratie, à vous mobiliser davantage pour la rentrée politique du 2 novembre au palais des congrès de Montreuil. Recenser tous ceux qui ont des problèmes de papiers. Nous allons mettre un mécanisme en place en vue de régler ce problème depuis la France ».
Pour ne pas laisser libre cours à la fraude sur la nationalité et sur l’identité des personnes, le maire de Samatiguila n’a pas manqué de dire : « tous ceux qui ont eu recours à des changements d’identité de façon illégale, ou qui ont réduit leurs âges ne seront pas pris en compte, s’ils ne régularisent pas leur situation conformément à la loi. Pour le reste, l’Etat prendra toutes les dispositions pour que ses ressortissants soient bien traités, afin que ceux-ci vivent dans des conditions idoines ».
Après l’association des femmes ressortissantes d’Abobo qui ont promis faire le plein de la salle, le DG du fer a rencontré l’association des jeunes du Sud-comoé résidant en France.
Après des échanges francs, portés essentiellement sur l’offre politique du RHDP, ces jeunes par la voix de leur représentant M. Aboudé ont pris l’engagement de venir en grand nombre à la rentrée politique du 2 novembre au palais des congrès de Montreuil.